Dans les démonstrations thématiques et systématiques des deux volumes précédents, le «droit» ne sest pas montré sous son meilleur jour. Devenu un outil dont les prédateurs et les profiteurs se servent comme arme pour imposer leur langage et leur volonté, que reste-t-il aux néolibéralismes de ces belles déclarations révolutionnaires sur une société de «Liberté, Egalité, Fraternité» ? Nétait-ce pas un chant improbable de sirènes chatoyantes, dont la musique a plongé le droit des citoyens dans un monde doutre-tombe ?